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QCM DE L'AUDIT GENERAL, Deuxième Partie

 

1- Le rôle d'auditeur financier et comptable est de :

A. Certifier les comptes.

B. Assurer la sincérité et la régularité des comptes.

C. Assurer le bon fonctionnement de toutes les fonctions de l'entreprise.

D. Donner son opinion sur les comptes.

E. Aucune réponse.

 

2- Le rôle d'auditeur social est de :

A. Evaluer la procédure de recrutement.

B. Assurer la performance de fonction ressources humaines.

C. Evaluer le climat social.

D. Licencier un salarié non rentable.

E. Élaborer un processus de recrutement.

 

3- Un commissaire aux comptes doit être :

A. Un auditeur opérationnel.

B. Un auditeur financier et comptables.

C. Un auditeur externe.

D. Un expert-comptable.

E. Un certificateur des comptes.


4- Les éléments probants sont :

A. Des normes.

B. Des procédures.

C. Des pièces justificatives.

D. Des anomalies.

E. Des informations basées sur les preuves.


5-L'audit se base sur :

A. Les normes.

B. Les standards.

C. Les procédures.

D. Les impressions personnelles.

E. Des références.


6- L'auditeur se raisonne en termes de :

A. Faits.

B. Conséquences.

C. Risques.

D. Prévisions.

 

7- Le rôle d'un auditeur est :

A. certifier les comptes.

B. Donner son opinion sur les comptes.

C. évaluer les procédures.

D. aider l'entreprise à maîtriser ses risques.  

 

8- L'audit interne :

A. Entre dans le cadre de la politique du contrôle interne.

B. Est un audit conseil.

C. Est un contrôle prévention.

D. Est un examen dépendant.

 

9- En matière d'audit d'achat dans quel cas y'a-t-il un risque :

A. Indépendance d'un seul fournisseur.

B. La dépendance d'un seul client.

C. La mise en concurrence des fournisseurs.

D. Le nom mise en concurrence des clients.

E. Aucune de ces réponses.


10- L'audit marketing se porte sur :

A. Budget promotionnel.

B. Les moyens de communication.

C. La gestion des relations clients.

D. La politique d'achat.

E. Aucune de ces réponses.

 

11- L'audit production se porte sur :

A. La trésorerie.

B. Efficacité de la production.

C. Rémunération des forces des ventes.

D. L'utilisation des ressources de l'entreprise.

E. Aucune de ces réponses.

 

12- Audit social peut se porte sur :

A. Climat social.

B. Accidents du travail.

C. Les salaires.

D. Recrutement.

E. Licenciement.

 

13- L'audit de finance se porte sur :

A. Les documents comptables.

B. Le choix de financement.

C. Financement des activités.

D. La rentabilité financière.

E. Aucune réponse.

 

 14- Un auditeur est tenu :

 A. D'une obligation des moyens.

 B. D'une obligation des moyens et des résultats.

 C. D'une obligation de certification.

 D. D'une obligation amélioration de la gestion.

 E. Aucune de ces réponses.

 

15- Un auditeur d'achat doit mettre en évidence les risques suivants :

A. Existence d'une procédure d'achat bien élaborée et bien respectée.

B. Existence d'une procédure d'achat mal élaborée et bien respectée.

C. Existence d'une procédure d'achat bien élaborée et mal respectée.

D. Manques des procédures d'achat.

E. Aucune de ces réponses.


16- Un auditeur social peut mettre en évidence :

A. Le manque des procédures de recrutement.

B. Existence des procédures de recrutement bien élaborée et mal respectée.

C. L'existence d'une procédure de recrutement.

D. L'existence d'une procédure de recrutement bien élaborée et bien respectée.

E. Aucune de ces réponses.

 

17- Audit social s'assure à :

A. La variabilité des salaires.

B. Que les salariés perçoivent même salaires.

C. A une division des tâches claire.

D. La revue et le respect des procédures.

E. Licenciement des salariés non rentables.

 

18- Dans le cadre de la phase de la prise en connaissance générale de l'entité l'auditeur s'intéresse aux comptes :

A. Confusion des tâches.

B. Structure organisationnelle.

C. Taux de croissance du secteur d'activité.

D. Organigramme.


19- Dans la première phase de la démarche d'audit en peut mettre en évidence les risques suivants :

A. Risque inhérent.

B. Risque du contrôle interne.

C. Risque des problèmes techniques.

D. Sur effectif du service comptable.

E. Risque de non détection.


20- Dans la troisième phase du processus d'audit, l'auditeur s'intéresse :

A. Aux risques de confusion des tâches.

B. A l'appréciation du contrôle interne.

C. Aux procédures.

D. Comptes CPC et Bilan.

E. A l'examen analytique.


21- le contrôle effectué par l'auditeur dans la troisième phase du processus d'audit s'agit :

A. d'un examen des comptes.

B. appréciation du contrôle interne.

C. examen analytique.

D. examen limité.

 E. Revue analytique.


22- Dans le cadre de la phase d'appréciation du contrôle interne l'auditeur s'intéresse à :

A. Risque de non-respect des dispositions législative.

B. Risque de confusion des tâches.

C. Comptes CPC et Bilan.

D. Orientation stratégique.

E. L'évaluation des procédures.


23- Dans la deuxième phase de la démarche d'audit l'auditeur peut mette en évidence les risques suivants

A. Risque du contrôle interne.

B. Risque inhérent.

C. Risque de non détection.

D. Inexistence d'un contrôle réciproque.

E. Les anomalies dans les comptes.

 

24- La mission d'audit peut se passer :

A. Sans tout contrôler.

 B. Sans tout vérifier.

D. Sans passé à la phase de connaissance générale.

E. Sans planification.

 

25- La mission d'audit ne peut se passer :

 A. Sans tout contrôler.

 B. Sans tout vérifier.

 C. Sans passer à la phase d'évaluation du contrôle interne.

 D. Sans passer à la phase de la revue analytique.

 

26- L'approche à risques vise à :

A. Délimiter les zones à risques.

B. Eviter les zones de risques.

C. Limiter les zones de risques.

D. Déterminer les zones à risques.

 

27- L'analyse à risque à permet :

A. Sélectionner les éléments à contrôler.

B. Orienter le travail d'audit.

C. Faire l'objet d'approfondissement.

D. De limiter les zones de risques.

 

 28- Lors de la phase de connaissance générale de l'entité l'auditeur s'intéresse à :

A. La structure organisationnelle.

B. Élaborer le rapport.

C. Évaluation des procédures.

D. D'examen des comptes.

 

29- Lors de la phase d'évaluation du contrôle interne l'auditeur peut mettre en évidence :

A. Existences des anomalies dans les comptes.

B. Risque de confusion des tâches.

C. L'existence des procédures.

D. Le non-respect des procédures.

E. Aucune réponse.

 

30- Lors de la phase d'appréciation du contrôle interne l'auditeur peut mettre en cause :

A. Existence des procédures bien élaborées et mal respectées.

B. Existence des procédures mal élaborées et bien respectées.

C. Existence des procédures bien élaborées et mal respectées.

D. Existence des procédures bien élaborées.

E. Existence des procédures bien respectées.

 

31- Lors de la phase d'examen analytique l'auditeur peut faire l'objet d'une comparaison entre le chiffre d'affaires et :

A. Le résultat de l'entreprise concurrente.

B. La TVA déclarée par l'entreprise.

C. L'orientation stratégique de l'entreprise.

D. Le chiffre d'affaires d'une entreprise concurrente.

E. Aucune réponse.

 

32- L'auditeur peut faire l'objet d'une confirmation auprès :

A. Des clients.

B. De dirigeant.

C. De directeur financier.

D. Des fournisseurs.


33- L'auditeur ne peut pas faire l'objet d'une circularisation auprès :

A. Des clients.

B. Des dirigeants.

C. Organismes sociaux.

D. Du service comptable.

E. Banques.


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