QCM DE L'AUDIT GENERAL, Premier Partie
1- L’audit est
:
A. Un examen professionnel.
B. Une sorte de vérification.
C. Un type de
contrôle de gestion.
D. Un processus méthodologique.
2- Un auditeur
interne peut être un :
A. Salarié de l’entreprise.
B. Commissaire
aux comptes.
C. Intervenant
externe.
D. Etudiant.
E. Aucune
réponse
3- Les normes
générales de l’audit :
A. Sont
fictives.
B. Sont
optionnelles.
C. Sont obligatoires.
D. Sont de
nature comptable.
E. Aucune
réponse.
4- Nous pouvons
parler de risque dans les situations suivantes :
A. Absence d’une répartition des tâches.
B. Confusion des tâches.
C. Évaluation forfaitaire des stocks.
D. Sous-effectif du personnel comptable.
E. Aucune
réponse
5- Un auditeur
est forcément un :
A. Commissaire
aux comptes.
B. Inspecteur.
C. Expert-comptable.
D. Professionnel de traitement de l’information.
6- L’audit
légal est :
A. Un audit
optionnel.
B. Un audit obligatoire.
C. Un audit
interne.
D. Un audit externe.
7- Le mandat
d’un commissaire aux comptes doit durer :
A. Une année.
B. 2 années.
C. 3 années.
D. 4 années.
E. Aucune
réponse.
Réponse juste :
3 ans renouvelables quand désigné par AGO
1 an quand désigné par Statuts
8- En matière
d’audit légal, l’auditeur est tenu d’une :
A. Obligation
de détection de fraudes.
B. Obligation
d’amélioration de la gestion.
C. Obligation de moyens.
D. Obligation
de résultats.
9- Le contrôle
interne est un ensemble des pratiques et procédures mise en œuvre par la
direction en vue :
A. De protéger le patrimoine de l’organisation.
B. De publier
les comptes.
C. De contribuer au bon fonctionnement de l’organisation.
D. D’éviter
complétement les erreurs et les fraudes.
E. Aucune
réponse.
10- Lors de
l’accomplissement d’une mission d’audit, un auditeur n’est pas tenu de :
A. Tout contrôler.
B. Revoir toutes l’opération passée au niveau comptable.
C. Planifier et orienter le travail de l’auditeur interne.
D. Mettre en
place tous les moyens nécessaires à la réalisation de la mission.
E. Aucune
réponse.
11- Pour
détecter les anomalies l’auditeur peut faire appel aux outils suivants :
A. Des contrôles physiques.
B. Des
impressions personnelles.
C. La revue de vraisemblance.
D. La technique de sondage.
12- Les quels
des éléments ci-dessous, peuvent faire l’objet de confirmation :
A. Les créances clients.
B. Les
provisions pour créances clients.
C. Les dettes fournisseurs.
D. Les
amortissements des immobilisations corporelles.
13- Au cours de
son mandat un commissaire aux comptes :
A. Peut toujours émettre des
opinions sans réserve.
B. Doit
toujours exercer sa mission jusqu’ à son terme.
C. A toujours la possibilité de démissionner pour motif
légitime.
D. Ne peut
jamais démissionner.
14- Le principe
de la propriété peut stipuler que :
A. Un bien acquis par crédit-bail ne doit pas figurer dans
l’actif d’une entreprise.
B. Le patrimoine d’une entreprise est constitué des actifs
qui lui appartiennent.
C. Toutes les
opérations doivent être enregistrées et réelles.
D. Aucune
réponse.
15- Dans un
processus d’achat, la mise en concurrence de fournisseurs permet :
A. D’identifier
les avances aux fournisseurs non récupérées.
B. De rechercher le meilleur rapport qualité- prix.
C. De faire jour la concurrence entre les fournisseurs.
D. Aucune
réponse.
16- Un auditeur des achats peut :
A. Mettre en évidence le risque de forte dépendance d’un
seul fournisseur
B. Mettre en évidence le risque de non mise en concurrence
des fournisseurs.
C. Remettre en cause l’existence d’une procédure d’achat
bien élaborée et non respectée.
D. Aucune
réponse.
17- Lors de
l’accomplissement d’une mission d’audit, un auditeur est tenu de : A. Planifier et orienter la mission de chaque salarié au sein de
l’entreprise.
B. Tous
vérifier.
C. Sélectionner les éléments à contrôler.
D. Faire appel à un expert dans un domaine que lui ne
maîtrise pas.
E. De licencier
l’auditeur interne en cas d’incompétence
18- Afin de
détecter des anomalies, l’auditeur financier peut croiser de l’information
issue de :
A. L’actif et du passif du bilan.
B. Bilan et CPC.
C. Bilan et du
patrimoine personnel du dirigeant.
D. CPC et des orientations stratégiques de l’entreprise.
E. Aucune
réponse.
19- Dans le
domaine de l’audit, l’auditeur peut faire appel à un certain nombre de
technique de control et de vérifications, parmi lesquelles nous pouvons citer :
A. La vérification des actifs corporels au
sein de l’entreprise.
B. La demande (collecte) d’information
interne et externe de l’entreprise.
C. La vérification d’un calcul.
D. L’observation sur le terrain.
E.
Aucune réponse.
20- Le montant
des provisions constatées attire l’attention de l’auditeur parce que :
A. La
constatation des provisions est une obligation légale.
B. Il existe
des méthodes de calcul précises.
C. Il s’agit d’une simple estimation.
D. Les
provisions figurent aussi bien à l’actif qu’au passif du bilan.
E. Les provisions peuvent avoir une influence significative
sur le patrimoine de l’entreprise.
21- Dans quel
(s)cas parle-t-on d’une fraude
A. Une erreur
sur la date d’enregistrement d’une opération.
B. Une erreur
sur le calcul arithmétique d’une opération.
C. Le non enregistrement d’une sortie de stock.
D. L’enregistrement d’opérations fictives.
E. Aucune
réponse.
22- Les
dirigeants d’une entreprise ont arrêté les comptes annuels de l’exercice après
avoir procédé à une majoration d’importante de la valeur des stocks et une
minoration significative des opérations ainsi que des provisions dans ce cas on
peut parler de :
A. Du respecte
du principe de prudence.
B. D’une dissimulation de la
situation financière de l’entreprise.
C. D’une fraude.
D. D’une
erreur.
E. Aucune
réponse.
23- À la
lecture des informations ci-dessus, en tant qu’auditeur, vous pouvez mettre en
évidence les risques de :
A. Capitaux
propres négatives.
B. Surendettement.
C. Indépendance
des produits financiers.
D. Détérioration du niveau de rentabilité.
E. Aucune
réponse.
24- Entant
qu’auditeur, quelle(s) situation(s) présente (ent) pour vous une anomalie
(incohérence) :
A. Report à
nouveau =0
B. Provisions
pour risques et charges =380
C. Capital
social stable en 2013 et 2014
D. Réserves stables en 2013 et 2014
E. Aucune
réponse
25- sur la base
des informations financières sur l’entreprise Gama nous pouvons avancer que :
A. Le niveau
des emprunts et celui des frais financiers sont proportionnels.
B. Le niveau
des emprunts et celui de résultat sont cohérents.
C. La
stagnation du niveau des provisions est normale.
D. Le niveau
des emprunts est justifié.
E. Aucune réponse.
26- La
dégradation du niveau de commandes en 2014 présente :
A. Un risque de
suractivité.
B. Un risque de sous-activité.
C. Un risque de
crédit client.
D. Un risque éventuel de conflit.
E. Aucune
réponse.
27- En 2014,
les dirigeants ont arrêtés les comptes annuels de l’exercice après avoir
procédé à une réduction importante de la valeur des stocks et des provisions
dans ce cas on peut parler :
A. Du respect
du principe de prudence.
B. Du respect
du principe de propriété.
C. Du respect
du principe de réalité.
D. Du respect
du principe d’évaluation correcte.
E. Aucune réponse.
28- lors de la rédaction de son rapport de fin
d’émission, le CAC peut éventuellement formuler pour l’entreprise GAMA, les
recommandations suivantes :
A.
L’augmentation des prix de vente.
B. La
diminution des prix de vente.
C. La
diminution des réserves.
D. L’annulation
des provisions pour risques et charges.
E. Aucune réponse.
29- Un auditeur social s’intéresse à :
A. Evaluer la procédure de recrutement.
B. Décider les
augmentations de salaires.
C. Décider le
licenciement des salaries non productifs.
D. Vérifier le respect d’une procédure de recrutement.
30- Un audit
social peut porter sur :
A. La politique de motivation.
B. Les salariés.
C. Les conditions de
travail.
D. L’effectif de personnel.
E. Aucune
réponse.
31- Un audit
financier et comptable est :
A. Un contrôle
de financement.
B. Un contrôle des documents comptables.
C. Un contrôle
de performance des fonctions de l'entreprise.
D. Est un
contrôle fiscal.
32- Un audit opérationnel peut être :
A. Un audit
financier.
B. Un audit d'achat.
C. Un audit social.
D. Un audit de financement.
33- Un audit
opérationnel :
A. Vise à
évaluer la sincérité et la régularité des documents comptables.
B. Vise à
assurer le respect des principes comptables.
C. Vise à
certifier les comptes.
D. Aucune réponse.

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