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Qcm du contrôle de gestion

 


1- La comptabilité de gestion est un instrument au service du contrôle de gestion.

A-   Vrai

B-   Faux

2- La comptabilité analytique permet d’estimer la rentabilité des produits de                                 l’entreprise.

C-   Vrai

A-   Faux

3- La comptabilité analytique permet d’estimer la valeur des stocks pour la                                  comptabilité financière.

A-   Vrai

B-   Faux

4- Les principaux objectifs de la comptabilité de gestion sont d’informer, prévoir,                          contrôler et sanctionner (ou             récompenser...).

A-   Vrai

B-   Faux

4.1-     Les principaux objectifs de la comptabilité de gestion sont d’informer, prévoir,                    contrôler et expliquer.

A-   Vrai

B-   Faux

5- Toute entreprise de plus de 20 salariés est tenue d’avoir une comptabilité                                     analytique.

A-   Vrai

B-   Faux

6- La comptabilité de gestion est destinée à un usage interne dans l’entreprise.

A-   Vrai

B-   Faux

7- Le principal objectif de la comptabilité de gestion est de servir au pilotage de                                l’entreprise.

C-   Vrai

A-   Faux

8- La comptabilité analytique a pour objectif unique de calculer le coût des produits et services vendus par l’entreprise.

A-   Vrai

B-   Faux

9- Le contrôle de gestion moderne a pour objectif d’orienter le comportement des                         individus dans l’entreprise.

A-   Vrai

B-   Faux

10- L’efficience représente la capacité à atteindre un objectif fixé.

A-   Vrai

B-   Faux

11- Le contrôle de gestion :

A-   Est l’unique mode de contrôle dans les organisations

B-   Permet la décentralisation

C-   Permet d’appliquer un langage commun au sein de l’entreprise

12- Le contrôleur de gestion

A-   Ne se confond pas avec le processus de contrôle de gestion

B-   Fait seul le contrôle de gestion

13- Le contrôle de gestion a une mission d’aide à la décision

A-   Vrai

B-   Faux

14- Le contrôle se limite aux actions de surveillance ou de vérification_

A-   Vrai

B-   Faux

15- Le contrôle de gestion peut se résumer à la comptabilité de gestion (analytique et                     budgétaire)

A-   Vrai

B-   Faux

16- Le contrôle de gestion :

A-   Est un ensemble de procédures qui a pour but de permettre à la direction de s’assurer que les objectifs sont          atteints de manière efficace et efficiente

B-   Doit s’assurer que le comportement des individus est cohérent avec les objectifs de                         l’entité

C-   Doit non seulement être appréhendé dans le sens de « vérification », mais aussi dans celui de « pilotage de l’organisation »

D-   Les trois réponses sont exactes

17- Le processus du contrôle de gestion implique les phases :

A-   De prévisions budgétaires, pour indiquer la direction à prendre et le niveau de                                 performance à atteindre

B-   D’évaluation des performances, grâce au système analytique ou à la comptabilité de                         gestion

C-   De contrôle budgétaire, caractérisé par le calcul et l’analyse des écarts entre les réalisations et les prévisions ajustées aux réalisations

D-   Les trois réponses sont exactes

18- Un processus est :

A-   Un ensemble d’activités inter reliées pour atteindre un objectif donné

B-   Un ensemble de tâches cloisonnées_

C-   Aucun des deux

19- Les phases du système budgétaire sont consécutivement :

A-   Prévision – budgétisation – contrôle

B-   Budgétisation – contrôle – prévision

C-   Contrôle – prévision – budgétisation

20- Relevez les propositions qui peuvent caractériser le contrôle budgétaire :

A-   Il est l’étape première de la gestion budgétaire

B-   Il permet de rechercher les causes d’écarts

C-   Il permet d’apprécier l’activité des responsables budgétaires

D-   Il est constitué de deux activités principales : mises en évidence d’écarts et mise en                             œuvre d’actions correctives

21- L'écart c'est la différence entre :

A-   La prévision et la réalisation

B-   La réalisation et la prévision

C-   La prévision et l'estimation

22- La comptabilité analytique est un outil utile

A-   à la comptabilité financière

B-   au contrôle de gestion

C-   à la comptabilité nationale

 

23- L’approche "contingente" consiste à affirmer l’existence d’un "one best way"                         unique :

A-   Vrai

B-   Faux

24- Le programme des ventes définit les ventes en quantités_

A-   Vrai

B-   Faux

25- Un « programme » :

A-   Est une prévision d’activité à court terme pouvant être exprimée en unités physiques

B-   Est une prévision stratégique engageant l’entreprise sur le long terme

C-   Est un logiciel informatique de gestion utile au contrôleur

26- Le budget déterminant c'est :

A-   Le budget de production

B-    Le budget de trésorerie

 C - Le budget des ventes

27- Le budget des ventes est :

A-   Le deuxième budget à élaborer

B-   Le troisième budget à élaborer

C-   Aucune réponse n'est juste

28- Le benchmarking ..

A-   est une méthode de diagnostic et d’analyse qui consiste à se comparer aux meilleurs

B-   est une méthode de diagnostic et d’analyse de la concurrence

C-   est une méthode de calcul des coûts complets

29- Le reporting est l’action qui consiste à faire remonter des informations principalement chiffrées, mais non uniquement, au siège ou à l’établissement principal

A- Vrai

C-   Faux

30- Le budget de production est le point de dépa rt de tous les autres budgets

A-   Vrai

B-   Faux

31- Un découpage en centres de responsabilité permet :

A-   Détecter des coûts et des performances à différentes entités qui travaillent ensemble

B-   De valoriser les échanges entre des centres

C-   De motiver les dirigeants par une responsabilisation plus grande

D-   De repérer les centres qui dépensent et les centres qui rapportent

E-   La construction des budgets

32- Un centre de responsabilité est :

A-   Une unité de fabrication en amont d’un processus conditionnant les autres activités

B-   Une unité de décision décentralisée dans le domaine de la production ou de la commercialisation pour être plus      efficace

C-   Un groupe d’acteurs avec un responsable qui doit atteindre un objectif assigné

D-   La visualisation de la hiérarchie au sein d’une entité

33- Dire si les affirmations suivantes sont vraies :

A-   Un centre de coûts doit réaliser un bien ou un service au moindre coût

B-   Un centre de recettes doit maximiser un chiffre d’affaires d’un bien ou service

C-   Un centre de profit doit dégager une marge maximale en tenant compte du coût des                             moyens investis

34- Les différentes entités d’un groupe peuvent se livrer des prestations en interne :

A-   A titre gratuit

B-   A titre payant

C-   Toujours à titre payant

35- Les prestations payantes à l’intérieur d’un groupe sont valorisées à un :

A-   Tarif de commercialisation interne TCI

B-   Prix de cession interne PCI

C-   Taux de crédit internalisé TCI

D-   Participation compensatoire interne

36- Le choix des tarifications entre entités doit permettre :

A-   Une juste évaluation de la performance de chaque centre

B-   Un pilotage de l’efficacité de l’ensemble des entités

C-   Un respect de l’autonomie de gestion des centres de responsabilité

D-   Une mesure du respect du budget de l’entité

37- La tarification des prestations internes est liée :

A-   A des choix stratégiques de localisation de la performance dans les entités

B-   A des choix fiscaux et sociaux

C-   Au degré d’intégration de l’entreprise

D-   Au degré de concurrence sur le marché

38- Les prestations internes payantes à l’intérieur d’une organisation :

A-   Génèrent automatiquement une dynamique de groupe et une performance de toutes les                     entités

B-   Permettent un optimum local et un optimum global

C-   Induisent automatiquement des conflits d’intérêts La détermination et l’enchaînement                     des coûts

39 Une pizzéria possède en plus de son local commercial, plusieurs locaux à usage commercial qu’elle loue à des professions libérales. La société a calculé le coût de ses pizzas. Les charges concernant les locaux qu’elle loue, qui sont de même nature que celles de la pizzeria (eau, gaz, électricité, taxe foncière…), sont des charges :

A-   Non incorporables

B-   Supplétives

C-   Incorporables

40-  Sont, a priori, incorporables les charges suivantes :

A.  Charges de personnel

B.   Achats de matières premières

C.   Charges exceptionnelles

D.  Impôt sur les bénéfices

 

41- Les charges prises en compte en comptabilité analytique se déterminent de la                                 manière suivante :

A-   Total des charges de la comptabilité générale – charges non incorporables + charges                      supplétives

B-   Total des charges de la comptabilité générale + charges non incorporables – charges                             supplétives

C-   Charges d’exploitation de la comptabilité générale – charges non incorporables +                             charges supplétives

D-   Total des charges de la comptabilité générale – charges non incorporables – charges                         supplétives

42- Les charges constatées en comptabilité générale et non reprises en comptabilité                     analytique constituent :

A-   Des charges incorporables.

B-   Des charges non incorporables.

C-   Des charges indirectes.

D-   Des charges supplétives.

43- Les charges non incorporables :

A-   Ont pour effet de diminuer le résultat analytique

B-   Doivent être ajoutées au résultat global analytique pour retrouver le résultat de la                             comptabilité générale

C-   Ont pour effet d’augmenter le résultat analytique

D-   Doivent être retranchées du résultat global analytique pour retrouver le résultat de la                      comptabilité générale.

44- Les charges supplétives :

A-   Ont pour effet de diminuer le résultat analytique

B-   Doivent être retranchées du résultat global analytique pour retrouver le résultat de la                             comptabilité générale

C-   Doivent être ajoutées au résultat global analytique pour retrouver le résultat de la                              comptabilité générale

D-   Ont pour effet d’augmenter le résultat analytique.

45- Le coût de production des produits finis :

A-   Se compose du coût d’achat des matières premières achetées + charges directes de production + charges indirectes de production

B-   Se compose du coût d’achat des matières premières achetées + charges directes de production – charges indirectes de production

C-   Se compose du coût d’achat des matières premières consommées + charges directes de production + charges indirectes de production

D-   Ne concerne que les entreprises qui réalisent des opérations de transformation (biens ou                     services)

46- Les entrées en stock des produits finis s’évaluent :

A-   Au coût de revient

B-   Au coût de production

C-   Au coût de distribution

D-   Au coût d’achat

47- Le coût de revient d’un produit :

A-   Représente théoriquement l’ensemble des coûts supportés par le produit

B-   Ne constitue qu’un coût partiel du produit

C-   Ne concerne que les produits vendus

D-   Peut servir à fixer son prix de vente

48- Les entrées en stock des matières premières, des marchandises et des                                         approvisionnements s’évaluent

A-   Au coût de production

B-   Au coût d’achat

C-   Au prix d’achat

D-   Au coût de distribution.

 

 

Les coûts complets

 

 

49- La méthode du coût de revient complet par centres d’analyse permet :

A-   De calculer la rentabilité apparente de chaque produit

B-   De prendre la décision d’abandonner un produit dont le résultat analytique est déficitaire

C-   D’avoir une mesure fiable de la rentabilité de chaque produit

D-   De calculer le coût de revient de chaque produit en le décomposant par grande fonction (approvisionnement, production, distribution)

50- Dans une poterie, constitue a priori un centre secondaire :

A-   L’atelier de tournage

B-   La direction

C-   Le centre création et conception de modèles

D-   L’atelier de peinture

51- Cochez les coûts calculés dans une entreprise commerciale :

A-   Coût de revient des marchandises vendues

B-   Coût d’approvisionnement

C-   Coût hors production des marchandises vendues

D-   Coût de production des marchandises

52- L’unité d’œuvre correspond :

A-   A une clé de répartition.

B-   A un lien supposé de cause à effet entre la dépense du centre et l’élaboration du produit.

C-   Au taux de rémunération de la main-d’œuvre.

D-   Au rapport entre les charges directes et indirectes du centre divisées par le nombre                         d’unités d’œuvre.

53- Une clé de répartition possible pour imputer les frais de transport de matières premières dans une entreprise est :

A-   Le poids des produits transportés

B-   Le lot de produits transporté

C-   Le nombre de commandes

D-   Le nombre de chauffeurs-livreurs

54- Le coût d’unité d’œuvre (basée sur l’heure de main-d’œuvre directe) du centre d’analyse « usinage » a augmenté de 15 € au cours de l’année. Quels facteurs parmi les suivants sont susceptibles d’avoir contribué à cette augmentation ?

A-   Une amélioration de la productivité de la main-d’œuvre directe.

B-   Une réduction de l’activité.

C-   Une augmentation du taux de rémunération de la main-d’œuvre directe.

D-   Une augmentation du niveau de la robotisation.

55- Les centres d’analyse regroupent :

A-   Des charges indirectes uniquement

B-   Des charges fixes et variables

C-   Des charges directes et indirectes

D-   Des charges fixes uniquement

56- Dans une verrerie, constitue a priori un centre principal :

A-   Le service comptabilité et facturation

B-   Le hall d’exposition

C-   L’atelier de soufflage

D-   Le centre emballage et distribution

57- Quelles sont les méthodes d’évaluation des sorties de stocks autorisées en                                 comptabilité générale :

A-   La méthode du CMUP (Coût Moyen Unitaire Pondéré)

B-   La méthode du FIFO (First In, First Out : Premier Entré, Premier Sortie)

C-   La méthode du coût standard

D-   La méthode du LIFO (Last In, First Out : Dernier Entré, Premier Sortie)

58- La répartition primaire correspond :

A-   À la répartition des charges des centres auxiliaires dans les centres principaux

B-   À la répartition des charges directes et indirectes du compte de résultat dans les centres                     d’analyse secondaire

C-   À la répartition des charges indirectes du compte de résultat dans les centres d’analyse secondaires et principaux

D-   À la répartition des charges indirectes du compte de résultat dans les centres d’analyse principaux Les fondements de la comptabilité par activité

59- La croissance des coûts indirects en variété et en poids a pour conséquence :

A-   De compliquer le problème de l’affectation de ces charges aux produits

B-   De réduire le poids des charges directes

C-   D’amplifier les erreurs dues aux clés de répartition

D-   De ne rien changer en soi au problème d’affectation des charges aux produits

60- Cocher les affirmations vraies

A-   On peut décider d’abandonner un produit grâce à la comptabilité par activité

B-   La comptabilité par activité permet de réduire les coûts en agissant sur les activités

C-   Il n’y a pas de répartition primaire en comptabilité par activité

D-   Un inducteur de coût est similaire à unité d’œuvre dans son mode

61- Un inducteur de coût :

A-   Permet de rendre variable les charges fixes

B-   Permet de répartir les coûts directs

C-   Permet de répartir les coûts d’un centre d’analyse

D-   Est fondé sur un lien de cause à effet entre le coût et son origine

 

 

62- Le bénéfice global est le même en comptabilité par activité et en comptabilité par                         centres d’analyse :

A-   Faux

B-   Vrai

63- Si un ouvrier « coûte » 400 dh, dont 150 dh de coûts directs, son licenciement                             permettra d’économiser :

A- 150 dh

B- Plus de 150 dh, mais moins que 400 dh

C- 400 dh

D- Plus de 400 dh

64- Dire qu’un coût est hétérogène signifie :

A-   Que la somme de ses composantes ne peut être mesurée en euros

B-   Que globalement, chaque produit consomme les charges dans les mêmes proportions

C-   Que ses composantes peuvent être induites par des activités différentes

D-   Qu’il est composé de coûts dont les comportements sont différents

65- La comptabilité par activité :

A-   Est pertinente dans les entreprises qui produisent par lots des produits complexes

B-   Est pertinente dans les entreprises qui produisent à la chaîne des produits uniques

C-   Va automatiquement remplacer la comptabilité en coûts complets traditionnels

D-   Fait partie de la comptabilité financière

66- Un centre de regroupement rassemble les charges communes à un même inducteur                     de coût

A-   Faux

B-   Vrai

67- Les centres d’analyse :

A-   Rassemblent en générale plusieurs activités

B-   Correspondent souvent à des centres de responsabilité

C-   Correspondent à une vision de l’entreprise organisée autour des processus

D-   Correspondent à une vision fonctionnelle de l’entreprise

68- Les activités :

A-   S’inscrivent dans une vision de l’entreprise organisée autour des processus

B-   S’inscrivent dans une vision fonctionnelle de l’entreprise

C-   Correspondent à des centres de responsabilité

D-   Rassemblent en général plusieurs tâches

69- La comptabilité traditionnelle par centres d’analyse pose problème en raison :

A-   De l’existence de centres de responsabilité

B-   De l’inadéquation de certaines unités d’œuvre

C-   De la croissance des charges fixes

D-   Du développement de la production par lots et petites séries

70- La méthode des « coûts complets » se différencie de la « comptabilité par activités » par les éléments suivants :

A-   La seconde tend à rendre « variables » des charges considérées comme fixes dans la                             première.

B-   L’existence de centres de regroupement dans la seconde assimilables aux centres                                 d’analyse de la première.

C-   La seconde n’implique pas de répartition secondaire.

D-   La seconde n’aboutit pas à un coût comprenant l’ensemble des charges de l’entreprise.

71- Dans le cas d’un investissement de productivité (et dans le cadre d’une comptabilité par centres d’analyse), l’effet de subventionnement peut être attribuable à :

A-   La modification du montant des charges fixes communes

B-   Une mauvaise imputation des charges fixes directes

C-   Aux gains de productivité sur un produit

D-   L’unité d’œuvre choisie

72- Constitue a priori une activité :

A-   L’approvisionnement

B-   La commande

C-   La gestion du personnel

D-   La facturation

73- Une activité est un ensemble de tâches élémentaires :

A-   Réalisées par un individu ou un groupe

B-   Constituées exclusivement de coûts variables

C-   Homogènes du point de vue du comportement de coût et de performance

D-   Constituées exclusivement de coûts directs Les coûts variables et le seuil de rentabilité

74- L’indice de sécurité d’une société est de 0,30. Cet indice signifie que :

A-   La société est déficitaire

B-   Aucune réponse n’est correcte

C-   Le chiffre d’affaires peut baisser de 30% sans que le résultat devienne déficitaire

D-   La société sera bénéficiaire si son chiffre d’affaires est supérieur de 30% aux prévisions

75- Le seuil de rentabilité peut être estimé :

A-   En coûts

B-   Par une date

C-   En chiffre d’affaires

D-   En quantité

76- Le recours à la sous-traitance a pour effet :

A-   D’augmenter les coûts variables

B-   D’augmenter les coûts fixes

C-   D’augmenter la marge sur coûts variables

D-   De diminuer les coûts fixes

77- D’une période à l’autre, le taux de marge sur coût variable d’un produit à                                     diminué. On en déduit :

A-   Une baisse du coût variable unitaire

B-   Une baisse du prix de vente unitaire du produit

C-   Une baisse du nombre de produits vendus

D-   Une augmentation des frais fixes

 79- cochez le type de charges représenté par la droite : (y = b)

A-   Aucun de trois

B-   Charges totales (i.e. comprenant la partie fixe et la partie variable)

C-   Charges variables

D-   Charges fixes

80 - Cochez le type de charges représenté par la droite : (y = ax + b)

A-   Charges totales (i.e. comprenant la partie fixe et la partie variable)

B-   Charges variables

C-   Aucun de trois

D-   Charges fixes

81-  Cochez le type de charges représenté par la droite : (y = ax)

A-   Charges fixes

B-   Charges totales (i.e. comprenant la partie fixe et la partie variable)

C-   Charges variables

D-   Aucun de trois

82-  La fonction du coût complet unitaire (charges variables + charges fixes) est :

A-   a + b/x

B-   ax + b

C-   ax

D-   ax - b

83-  Un coût variable :

A-   Peut évoluer grâce au phénomène d’apprentissage

B-   Est variable quand on calcule le coût total

C-   Est variable par unité

D-   Est fixe par unité

 

 Exemple :

 

Centre Principaux

 

achat

AT Découpe

AT Montage

  Vente

TOTAL APRES   RS

20000

50000

25000

25000

NATURE UO

mètre de tissu achet

pièces découpée

H MOD

100 CA

NOMBRE UO

20000

25000

5000

50000

COUT UO

     1

      2

     5

0,5

 

84-  Le coût indirect de vente représente 0,5% des ventes

A-   Vrai

B-   Faux

85-  Dans l’atelier découpe, le coût de 2 Dhs signifie :

A-   Le coût indirect de découpe d’une pièce est de 2 Dhs

B-   Le coût indirect de découpe d’un mètre de tissu est de 2 Dhs

C-   Couper une pièce coûte 2 Dhs (prix d’achat du tissu inclus)

D-   Qu’un mètre de tissu découpé coûte 2 Dhs

86-  Dans le centre achat, le coût de 1 Dhs signifie que :

A-   Le coût d’achat du tissu à intégrer dans le coût de production est de 1 Dhs par mètre

B-   Pour tout achat d’un mètre de tissu, on a 1 Dhs de charges indirectes d’achat

C-   Un mètre de tissu acheté coûte 1 Dhs

D-   Pour la consommation d’un mètre de tissu, on 1 Dhs de charges indirectes d’achat

87-  Dans le centre montage :

A-   On totalise 25 000 heures de charges directes de montage

B-   On totalise 25 000 heures de main d’œuvre directe

C-   Aucune réponse n’est correcte

D- Une heure de main-d’œuvre directe engendre 5 Dhs de charges indirectes

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