Qcm en Comptabilité Analytique
1- Un coût peut être défini comme une somme de
dépenses
a.
Vrai
b. Faux
** Un coût c’est l’ensemble des frais entraînés par la production ou distribution de quelque chose.
2- La comptabilité analytique est obligatoire
a. Vrai
b. Faux
** La comptabilité analytique est une comptabilité d’exploitation
à usage interne aux entreprises
3- L’organisation de la comptabilité analytique
a. Est uniforme quelle que soit l’activité de
l’entreprise
b. Obéit à des règles juridiques
c. S’adapte
au cycle d’exploitation de l’entreprise et à sa structure économique
4- Chaque coût se caractérise par son champ d’application, son contenu et le moment de son calcul
a.
Vrai
b. Faux
5- Les charges incorporées en comptabilité analytique se déterminent de la manière suivante :
a. Charges d’exploitation de la comptabilité
générale – charges non incorporables +éléments supplétifs
b.
Total des charges de la comptabilité générale – charges non incorporables + éléments
supplétifs
c. Total des charges de la comptabilité générale –
charges non incorporables + éléments supplétifs + ou – différences sur charges
de substitutions
6- Les éléments suivants vous sont communiqués pour
le mois d’octobre :
- Achats de matières 42000
- Achats non stockés 3000
- Autres charges externes 6400
- Charges du personnel 37600
- Charges exceptionnelles 1300
- Dotations aux amortissements, charges de
substitution 16000
- Dotations aux amortissements comptables 18000
- Impôts sur les bénéfices 5000
- Rémunération des capitaux 2500
Les charges incorporées aux coûts s’élèvent à :
a. 130800
b. 107500
c.
109500
6.1- Les charges non
incorporables s’élèvent à :
a- 50 300
b- 40 300
c- 60 300
Les charges non incorporables ce sont des charges
qui sont enregistrées en CG, mais qui ne sont pas prises en compte dans la CAE,
il s’agit des charges qui ne sont pas liés aux besoins d’exploitation, les
charges non incorporables comprennent :
- les
amortissements des immobilisations en non valeurs
- les provisions
pour dépréciation et les provisions pour risques et charges
- les
charges des exercices antérieurs
- les
charges non courantes
- les impôts
sur les résultats
** CG : Comptabilité Générale
** CAE : Comptabilité
Analytique D’exploitation
7- Les centres d’analyse :
a. Regroupent des charges directes et indirectes
b.
Regroupent des charges indirectes
c. Correspondent toujours à une division réelle de
l’entreprise
8- Un centre d’analyse peut être :
a.
Auxiliaire
b. Opérationnel
c.
Principal
d. De structure
9- A l’issue de la répartition secondaire des centres d’analyse, les coûts des centres auxiliaires sont nuls :
a.
Vrai
b. Faux
10- Le coût du centre approvisionnement est de 6000 dhs, l’unité d’œuvre est le kg de matière première achetée. L’entreprise a acheté pour le mois 800 kg de matières premières « A » et 200 kg de matières premières « B »
10.1- Le coût de l’unité d’œuvre
a. 7,5 dhs
b. 6 dhs
c. 30 dhs
10.2. Le coût direct d’approvisionnement pour la matière « A » est de
a.
4800 dhs
b. 6000 dhs
c. 24000 dhs
10.3. Le coût direct d’approvisionnement pour la matière « B » est de :
a. 6000 dhs
b.
1200 dhs
c. 1500 dhs
11- La méthode des coûts complets permet :
a. De calculer le coût de revient de chaque produit en le décomposant par grande fonction (approvisionnement, production, distribution)
b. D’étudier le comportement des charges par
rapport au niveau d’activité
c. De
calculer un résultat par produit
d. De
distinguer les charges en charges directes et indirectes
e. De
prendre la décision d’abandonner un produit dont le résultat est déficitaire
12- Le coût de production est supérieur au total
des charges de production
a. Vrai
b.
Faux
13- Le coût hors production :
a. Ne
comprend que le coût de distribution
b. Comprend le coût de production des produits
vendus
c.
Est imputé uniquement au coût de revient
d. Modifie la valeur des stocks
14- Le coût de revient d’un produit
a.
Peut servir à fixer son prix de vente
b.
Représente l’ensemble des coûts supportés par le produit
c. Ne
concerne que les produits vendus
** Le coût de revient = coût de production + charges
directs et indirects de distribution.
15- La comptabilité à base d’activités repose sur
le principe suivant :
a. Les produits et les activités consomment des
ressources
b. Les produits consomment des ressources qui
consomment des activités
c.
Les activités consomment des ressources, les produits consomment des activités
16- Que l’on soit en ABC ou centre d’analyse, le
résultat analytique global de l’entreprise
est le même.
a. Vrai
b. Faux
17- L’analyse du fonctionnement d’un atelier a
conduit une entreprise à définir une activité « Réglage ». Le coût de cette
activité correspond au salaire du technicien chargé de régler les machines
avant chaque nouveau lancement de série ou de lot de fabrication. Pour cette activité,
l’entreprise a choisi comme inducteur le nombre de lot. Avec cet inducteur, le
coût de l’activité « Réglage » :
a. Est le même pour chaque produit du lot quelle que soit la taille du lot
b.
Augmente avec la taille du lot
c. Diminue avec la taille du lot
18- Voici un extrait du tableau du coût des
inducteurs dans une entreprise industrielle (en DHS sauf volume d’inducteurs) :
Inducteur Activité Ordre de fabrication
Références composants Commandes clients
Réglage 20000
Entretien 10000
Sélection fournisseurs 1000
Gestion commandes 5000
Compta fournisseurs 2000
Expédition 4000
Compta clients 3500
Total 30000 8000 7500
Volume inducteurs 200 800 500
18 .1. Un produit nécessite pour sa fabrication
l’assemblage de 10 composants soit 8
références différentes. On lui impute le coût des
activités « Sélection fournisseurs »,
« Gestion commandes » et « compta fournisseurs »
suivant (en dhs) :
4/6
a. 100
b. 80
c. 10
d. 8000
18 .2. Le coût de l’activité « Commandes clients »
est de 7500 dhs :
a. Vrai
b. Faux
18 .3. Un client préfère venir chercher sa commande
plutôt que de se la faire livrer. Il
demande à ce titre une réduction commerciale sur sa
commande. En ne prenant en compte que les données du tableau, quel est le
montant maximum de réduction à lui accorder ?
a. 15 dhs
b. 0
c. 8 dhs
d. Un pourcentage du montant de la facture (à
négocier)
19- Le coût de distribution est supérieur au total
des charges de distribution
a. Vrai
b.
Faux
20- Les frais de stockage (gardiennage, entretien,
assurance, …) des marchandises, matières premières, matières consommables, font
généralement partie du coût d’achat :
a.
Vrai
b. Faux
21- Indiquer les affirmations exactes relatives à
la méthode de coût unitaire moyen pondéré, en fin de période
a.
Les entrées de la période sont calculées en quantité et en valeur
b. Le
CUMP est calculé en fin de période
c.
Les sorties de la période sont enregistrées, au fur et à mesure, en quantité et
en valeur
d. Le
coût unitaire pondéré moyen en fin de période se calcule de la façon suivante :
- Montant
du stock initial + montant des entrées de la période
- Quantité
du stock initial + quantité des entrées de la période
22- Pour les matières premières, les marchandises
et les approvisionnements, les variations se calculent dans le sens :
a. Stock Initial – Stock Final
b. Stock
Final – Stock Initial
23- Les entrées en stock des matières premières,
des marchandises et des approvisionnements s’évaluent :
a. Au prix d’achat
b. Au
coût d’achat
c. Au coût moyen pondéré de la période précédente
24- Pour les produits finis, intermédiaires et
en-cours, les variations de stocks se calculent dans le sens :
a. SI – SF
b. SF
– SI
25- Lorsque le seuil de rentabilité est atteint, on
constate les relations suivantes :
a.
Marge sur coût variable > coûts fixes
b.
Total des charges = Chiffre d’affaires
c.
Marge sur coût variable = coûts fixes
d.
Résultat = 0
Le seuil de rentabilité est le chiffre d’affaires
par lequel l’entreprise ne réalise ni bénéfice ni perte.
26- Il est nécessaire d’exprimer la marge sur coût
variable en pourcentage du CA :
a.
Vrai
b. Faux
27- Le CA s’élève à 1 089 000 dhs pour l’exercice
N,
le seuil de rentabilité est de 272 250 dhs.
27 .1. Le point mort est
atteint
a. 90
jours
b. 250 jours
** Le point mort c’est le point par lequel l’entreprise
va commencer de réaliser le bénéfice
27 .2. Il sera atteint, pour un exercice qui débute
le 1er janvier, le :
c. 1 er
avril
d. 10 septembre
28- Une augmentation des charges variables, pour
une structure et un CA HT identiques, a pour effet :
a.
D’élever le seuil de rentabilité
b. D’abaisser le seuil de rentabilité
29- Indiquer les relations vraies :
a.
Résultat = MCV – Charges fixes
b. Résultat = Chiffre d’affaires – Charges
variables + Charges fixes
c.
Chiffre d’affaires = Charges variables + Charges fixes + Résultat
d. Chiffre d’affaires = Charges fixes + Résultat + Taux
MCV
Exemple :
|
Chiffre d’affaires |
10 |
|
Charges variables - |
4 |
|
Marge / coût variables = |
6 |
|
Charges fixes - |
2 |
|
Résultat = |
4 |
30- Indiquer l’indicateur de gestion qui permet de
décider l’abandon d’un produit ou d’une activité par l’entreprise :
a. Seuil de rentabilité
b. Résultat du produit
c.
Marge sur coût variable
d. Marge commerciale
31- En comptabilité analytique, les charges sont
classées :
a. Par nature
b. Par période
c.
Par destination
31.1 - En comptabilité générale, les charges sont
classées :
a.
Par nature
b. Par période
c. Par destination
32- Les charges indirectes sont imputables au coût
des produits grâce à :
a. Une unité d’œuvre
b.
Une clé de répartition
c. Un taux de frais
33- Le total après répartition primaire est-il égal
au total après répartition secondaire
a.
Vrai
b. Faux
34- L’imputation rationnelle concerne
a.
Uniquement les charges fixes indirectes
b. Seulement les charges fixes directes
c. L’ensemble des charges fixes
35- D’après la méthode de l’imputation rationnelle,
chaque unité produite supporte normalement un montant identique de charges
fixes :
a.
Vrai
b. Faux
36- cocher les réponses qui vous semblent
exactes :
a-
charges fixes réelles > charges fixes imputes : mali de
sous-activité qui doit être retrancher du résultat analytiques
b- charges fixes réelles < charges fixes imputes : boni de la suractivité qui doit être ajoute au résultat analytiques
c- charges fixes réelles = charges fixes imputes : activité normale

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